L'horrible nuit du 13 novembre 2015 sur Paris a à nouveau mis en évidence l'utilité des réseaux sociaux.
Déjà pour mon cas personnel j'avoue que c'est par Facebook que j'ai été informée. En voyant les publications arriver, j'ai compris qu'il se passait quelque chose et j'ai été suivre ce qu'en disaient les autres médias.
Et outre les chaines d'infos qui faisaient état de la situation, c'est également sur Twitter que j'ai pu suivre la réalité des choses. Twitter permet à tous de réagir et très vite le hashtag #fusillade s'est imposé. Les informations tombaient en temps réel et ce média a permis également de partager la douleur et l'angoisse. Hommages à ceux qui agissaient, hommages aux victimes, soutien aux familles. Ca n'enlève rien, mais se sentir nombreux peu aider. Le lendemain d'ailleurs sur Facebook les photos de profils témoignaient du besoin de se rassembler contre l'adversité.
Puis est apparu un nouveau mot clef #Porteouverte. Un moyen pour ceux qui se trouvaient aux mauvais endroits au mauvais moment de trouver un lieu d'abri. Des parisiens qui ouvrent leurs portes à ceux coincés dans la rue et à risque . Belle initiative et très vite une très grande mobilisation et un moyen de réagir et de lutter.
Et c'est sur Twitter que j'ai su que Facebook avait mis en place sa notification "Safety Check". Un moyen pour ceux qui présents dans le périmètre dangereux de dire à leur proches qu'ils étaient en sécurité.
Mais le Contrôle d'Absence de Danger Facebook est aussi une source d'angoisse supplémentaire. On n'y voit des gens qu'on apprécie et on se fait du souci. Si j'ai écrit cet article c'est aussi et surtout pour vous inciter en cas de réel danger à utiliser les réseaux sociaux. Vous pourrez trouver des informations utiles, de l'aide, et surtout vous pourrez rassurer votre entourage.