Les clients qui avancent et évoluent.
Les clients qui trouvent des solutions, arrivent à utiliser les outils pour avancer et réussissent ce qu’ils entreprennent.
Les clients qui arrivent à agir tout en trouvant une certaine sérénité.
Les clients qui viennent avec le sourire, donnent régulièrement de leur nouvelles, sont heureux de partager leur réussite.
Les clients qui vont bien au-delà de ce qu’ils avaient prévu au départ.
Les clients qui démontrent une plus grande confiance en eux et qui l’utilisent pour avancer vers leur réussite avec efficacité et sérénité.
Les clients qui montrent une plus grande ouverture vers les autres, qui n’ont plus peur d’être ce qu’ils sont et qui le partagent avec leur entourage pour leur plus grand bonheur.

Alors merci à tous mes clients pour leur travail qui est pour moi la plus grande reconnaissance que je puisse obtenir. Merci à vous.

Fumer par exemple. Au départ quand il s’agit d’adolescent c’est souvent une manière d’être. Un moyen de s’affirmer en tant qu’individu qui grandit et appartient à un groupe. Malheureusement ça devient très vite un besoin dont on a du mal à se débarrasser.

Un autre comportement souvent observé dans nos sociétés : l’excès de nourriture. Je mange pour compenser d’un manque. Je remplis de mon estomac en espérant un réconfort. Sauf que très rapidement ça devient une habitude et au-delà un problème comme l’atteste la généralisation des troubles alimentaires.

On peut aussi boire pour compenser. Le mécanisme est le même : ça permet d’oublier et de se faire croire. Le résultat aussi est le même : il n’y a qu’un réconfort très passager et les dommages collatéraux peuvent être nombreux.

Bien d’autres mécanismes de compensation peuvent être listés, ils varient selon les individus et peuvent même être cumulés comme le tabac et l’alcool par exemple. Certains peuvent se réfugier dans le jeu ou les univers virtuels, dans le travail, dans l’activité sexuelle, dans la violence, dans la maladie… ou ce qui amène assez souvent à la pathologie dans le rêve de sa propre vie.

Et puis il y a un dernier mode de compensation qui me parait extraordinairement répandu et très peu considéré comme nocif : la compulsion d’achats. Les soldes vont arriver et malgré les dépenses de Noël on va voir comme chaque année les gens se précipiter à l’ouverture du magasin pour acheter. D’un besoin simple, l’achat est devenu un loisir, un mode de vie et également un moyen de compenser des difficultés. Je vais me réconforter en faisant les magasins et en achetant des produits dont j’ai envie. On a créé le besoin de consommer pour « être » et pour « aller bien » avec en plus toute une mondialisation de ce besoin et une intégration sociale évidente. Je consomme donc je suis. Mais là également il n’y a qu’un réconfort passager à trouver.

Ce n’est pas une fatalité.

Il est possible de se libérer de ces mécanismes. La première étape est déjà d’en prendre conscience sans se réfugier dans le dénie. Alors on peut travailler sur ces compulsions : s’appliquer à les observer, à les analyser, à en trouver les causes. Qu’est-ce qu’on cherche à compenser et comment. Une forme de voyage intérieur. Une recherche en soi avant de pouvoir contourner ces comportements et retrouver une réelle liberté d’action.

Un vrai travail qu’on peut entamer à tout âge.

Personnellement dès la première utilisation j’ai été frappée par la différence. J’avais l’impression de ne jamais avoir eu la peau si propre. Il restait toujours comme une pellicule finalement. Là c’était simplement net et parfaitement hydraté. Pas de chichi, juste de l’efficacité et un savon qui, en plus, n’agresse pas la peau voir même la soigne. Il convient particulièrement aux peaux à problèmes et contribue à soigner eczéma, rougeurs ou démangeaisons. J’ai pu largement en voir la démonstration. En plus le savon dure longtemps et a une texture très agréable. L’idéal pour la toilette.

Il parait qu’il est également efficace comme shampoing anti pelliculaire, mais mon expérience n’a pas été très concluante. Le manque de pouvoir moussant rend la tâche difficile sur mes cheveux longs et épais et c’est fort dommage.

Mais devant une telle découverte et m’intéressant à ce savon d’Alep je me suis interrogée. Pourquoi a-t-on développé tant d’autres produits au fil du temps ? Pourquoi vouloir réinventer la roue ? Je comprends bien l’idée de continuer à chercher pour perfectionner les produits, mais dans le cas de ce savon clairement pour moi il y a eu marche arrière. Tous ceux que j’avais utilisé jusque là m’ont paru bien moins efficaces et sans toutes ces caractéristiques si intéressantes. Sans compter que le savon d’Alep et naturellement hypoallergénique. Alors on peut se trouver dérangé par l’odeur particulière et vouloir y adjoindre un parfum, mais je reste à me demander pourquoi un tel produit n’est pas plus diffusé et qu’on lui préfère des fabrications industrielles toujours plus complexes et bien moins efficaces et sûre à mon sens.

Personnellement j’ai donc changé mes habitudes et c’est mon produit de beauté principal. Une belle économie pour des résultats que je ne cesse de louer. Ma peau n’a jamais été aussi saine et je ressens la propreté et l’hydratation à chaque utilisation. Je ne peux que vous conseiller de l’essayer. Vous ferez peut être vous aussi une merveilleuse découverte.

En pharmacie : Losson à Metz pour ma part.

Ma première rencontre était dans un restaurant d'une station de ski en Estrie. Nous y étions allés avec une amie venue me rendre visite de France. Quelques descentes et l'idée de faire une halte au snack s'est imposée. Là il y avait une longue file d'attente et Laurence en bonne Française nous avait réservé une table dans la salle. Après un temps relativement long alors que le service n'était pas très rapide, elle est revenue vers nous avec une mine interrogative. "Les gens, ils mangent de la soupe avec des frites dedans !" C'était de la poutine qui à cette endroit là était servie dans un grand gobelet avec beaucoup de sauce.

Alors qu'est-ce que la poutine ? Pour ceux qui n'ont pas de culture québécoise voici ma description de ce plat. Il s'agit de frittes agrémentées de fromage "qui fait skouitch-skouitch" recouvert d'une sauce brune. Le fromage utilisé aussi appelé fromage en grain a la particularité de faire un son particulier dans la bouche quand il est bien frais. La poutine nécessite donc un fromage du jour pour être considérée comme bonne. Ce qui explique aussi la difficulté à trouver ce plat en dehors du Québec vu que le fromage utilisé n'est pas facile à trouver à l'extérieur.

Au départ comme Laurence j'avais quelques hésitations face à ce met particulier. Au premier abord ça n'est pas forcément apetissant. Mais on s'y met très vite surtout alors que la température chute. C'est un plat bien calorique qui répond aux besoins de l'organisme en hivers. Le problème c'est qu'on a vite tendance à en consommer également en été !

Au Québec on trouve de la poutine quasiment partout. Mac Donald en propose une comme la majorité des fast-food. Il existe également des chaines spécialisées et différentes variations autour de la recette originale dont une au foie gras !

Pour ma part, concernant la poutine j'aime la classique et j'ai mes habitudes à Montréal. Deux endroits me semblent incontournables. La Banquise sur Rachel Est et sa poutine qu'on peut emmener pour aller la déguster dans le Parc Lafontaine tout proche. Même à - 20° c'est un régal. Et puis Maam Bolduc sur De Lorimier. Là il y en plus la possibilité de changer les frites qui accompagnent un burger par une demi-poutine. Belle invention que cette demi poutine que j'ai très souvent dégustée à cet endroit fort sympathique. A noter en passant par Québec l'incontournable Ashton !

Alors pour ceux qui ont la chance d'être au Québec, mangez votre prochaine poutine en pensant à moi et n'hésitez pas à donner votre avis sur ce blog. Pour les autres qui ne connaissent pas encore, n'hésitez pas à en faire un must lors de votre prochain voyage dans la belle province.